De Lyon à l’international , la PME LBA fait de l’innovation sa meilleure arme pour sécuriser le monde
Lyon, le 13 mars 2025 – Qui aurait cru qu’une PME lyonnaise spécialisée dans les barrières automatiques deviendrait une référence mondiale en sécurité périmétrique ? Et pourtant, La Barrière Automatique (LBA) s’impose aujourd’hui comme un acteur clé, alliant innovation, excellence industrielle française et ambition internationale. De Disneyland Paris aux Jeux Olympiques de Paris 2024, en passant par les infrastructures stratégiques du monde entier, LBA répond aux besoins croissants de sécurisation des villes et des sites privés. Son dernier exploit technologique ? Un portail pliant double unique en Europe, capable d’arrêter un camion de 7,2 tonnes lancé à 80 km/h, qui s’ouvre en un temps record. Une prouesse qui illustre l’ADN de LBA : repousser les limites de la sécurité, sans jamais sacrifier l’esthétique urbaine ni la fluidité des flux.
Une PME qui bouscule les géants de la sécurité
Avec 45 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2024 et 150 collaborateurs répartis sur deux sites industriels – LBA à Limonest (Rhône) et AMCO Les Escamotables à Roquemaure (Gard), le groupe n’a jamais cédé à la tentation de délocaliser sa production. Cette autonomie industrielle a été un atout clé lors de la crise du Covid-19, permettant à LBA de continuer à produire alors que de nombreux acteurs étaient paralysés par les ruptures de chaînes logistiques internationales.
Un positionnement assumé par Hélène Hardouin, CEO de LBA : “Ce qui fait notre force, c’est notre capacité à allier excellence industrielle et audace technologique. Nous prouvons qu’il est possible de réussir avec une fabrication 100 % française”.
Une croissance tirée par l’innovation et l’export
LBA dépose en moyenne 5 brevets par an, illustrant son approche pionnière en matière de sécurisation périmétrique. Au cœur de cette dynamique, la cellule innovation de LBA réunit 15 experts, soit près d’un dixième des effectifs, entièrement dédiés au développement de nouvelles technologies et à l’amélioration continue des dispositifs existants.
Parmi les dernières innovations phares de l’entreprise :
✅ Des lisses de barrières flexibles à mémoire de forme, capables de se déformer sans se casser avant de reprendre leur position initiale.
✅ Le W-GATE 7580, premier portail pliant double crash-testé en Europe.
✅ L’intégration de l’intelligence artificielle, pour anticiper et adapter en temps réel la gestion des flux et des accès.
Mais l’innovation chez LBA ne se limite pas à la performance technique. L’intégration esthétique dans les villes fait aussi partie de son ADN : ses dispositifs sont conçus pour s’harmoniser avec l’espace urbain, afin d’assurer sécurité et qualité de vie sans générer un environnement anxiogène.
Une ambition portée par une vision long terme
Déjà présente dans plus de 40 pays, LBA connaît une croissance rapide à l’export, avec pour ambition de porter la part de son chiffre d’affaires international de 15 % à 40 % d’ici trois ans – en renforçant sa présence sur des marchés stratégiques. Cette expansion repose sur trois piliers :
✅ Une production française, garantissant qualité et respect des normes les plus exigeantes
✅ Un modèle industriel agile, capable de s’adapter rapidement aux besoins des villes et des entreprises
✅ Une capacité à répondre aux défis contemporains, de la sécurisation des espaces publics à la protection des infrastructures critiques.
“La sécurité ne doit jamais être figée : elle doit évoluer en même temps que nos villes, nos infrastructures et nos usages. Chez LBA, nous poursuivons notre engagement vers des solutions toujours plus intelligentes, fluides et durables. Cela passe par des dispositifs encore plus connectés, capables d’anticiper les risques et de s’adapter aux flux en temps réel. Mais aussi par une R&D toujours plus ambitieuse, pour continuer à répondre aux défis des villes et infrastructures de demain. Notre croissance repose sur une conviction forte : innover sans jamais compromettre l’humain ni l’intégration harmonieuse de nos équipements dans les espaces”, conclut Hélène Hardouin.